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1963: la «Revue Musicale de Suisse Romande»

En 1963, la revue adopte son titre définitif, et abandonne celui de «Feuilles Musicales». Simultanément, le format est augmenté (A4), et l'impression, rehaussée de nombreuses illustrations, a lieu sur papier glacé. Malgré des premiers pas difficiles, cette nouvelle formule finit par s'imposer, et sera conservée pendant une dizaine d'années. Toutefois, en raison de difficultés financières consécutives notamment à la crise du pétrole de 1973, on retournera à l'ancien format, qui reste encore en usage de nos jours (240 x 160 mm).

 

RMSR 1964 

 


Une véritable revue romande de musicologie...

Sous la direction du musicologue Jean-Jacques Eigeldinger, la Revue connaît une période faste à la fin des années 1970 et au début des années 1980. Certains des plus prestigieux musicologues de langue française, comme Serge Gut, Daniel Paquette, Manfred Kelkel, Jean-Michel Nectoux ou Joël-Marie Fauquet, y publient d'importants articles.
 
 

L'ethnomusicologie aussi a eu ses entrées très tôt dans notre revue.
Ici, un article de Laurent Aubert (mai 1981).

RMSR Laurent Auber sur l'Inde


Pour le 700ème anniversaire de la Confédération Helvétique, en 1991, la Revue publie un dossier de 500 pages sur l'état de la musique dans notre pays, plus particulièrement dans les cantons romands, qui font chacun l'objet d'une recherche approfondie. Après Roger Boss, ancien directeur du Conservatoire de Neuchâtel, Jacques-Michel Pittier, romancier et chroniqueur musical, devient rédacteur en chef en 1992. Depuis l'an 2001, c'est Vincent Arlettaz, musicologue d'origine valaisanne, docteur de la Sorbonne, qui assume cette fonction.

 

RMSR le Valais et la musique


 

...mais aussi l'organe officiel de multiples associations

Au cours de ses 65 ans d'existence, la Revue Musicale de Suisse Romande a été - pour des périodes plus ou moins longues - l'organe officiel de plusieurs associations, parmi lesquelles la Section Romande et Tessinoise des Jeunesses Musicales Suisses, les sociétés des directeurs de choeurs vaudois, puis valaisans, enfin l'Association Ernest Ansermet et la Section Romande de la Société Suisse de Musicologie. Aujourd'hui redevenue indépendante, elle n'en continue pas moins d'apporter sa contribution active à une vie musicale dont elle a été pendant près de trois générations le témoin privilégié.

 

rmsr

 



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(page mise à jour le 4 octobre 2014)