No. 54/2    juin 2001

 

Mais qui est donc

"Madame de..." ?

Par Catherine Buser

Madame de... 

C'est aux accents hollywoodiens d'un opéra de Jean-Michel Damase, «Madame de», que Renée Auphan fait ses adieux au public de la Place Neuve. Un ouvrage dans lequel elle-même avait fait ses premiers pas sur scène, en 1970 à Monte-Carlo. La boucle est bouclée!

 

Dans quelques semaines, Renée Auphan transmettra les commandes du Grand Théâtre de Genève. A l'heure de prendre congé de sa «grande famille», la directrice de la Place Neuve, un rien nostalgique, a choisi de mettre à l'affiche de sa dernière saison à Genève une oeuvre qu'elle aime beaucoup... Ce joyau inattendu, qui n'a rien de «politiquement correct», c'est Madame de, une comédie lyrique de Jean-Michel Damase dont la création, le 28 avril 1970 à l'opéra de Monte-Carlo, avait permis à la cantatrice, encore étudiante, de faire ses premiers pas sur scène.

L'histoire de Madame de est tirée d'un roman célèbre de Louise de Vilmorin, roman qui avait remporté à sa publication en 1951 un vif succès. On y raconte le destin tragique de «Madame de», une femme très élégante, oisive et dépensière, qui est contrainte de vendre, pour payer ses dettes, les deux coeurs de diamant que «Monsieur de» lui avait offerts au lendemain de leur mariage...

 

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